LOUE UNE PETITE AMIE BUZZ DU JOUR


Vous en avez marre d’être seul ? Vous souhaitez rencontrer l’âme sœur mais les sites de rencontres ne sont guère concluants ? Vous aimeriez avoir quelqu’un (tout) près de vous pour vous chouchouter et avec qui roucouler ?
Vous en avez assez de la routine avec votre femme ? Vous souhaitez vous évader ?
Vous n’aimez pas la copine de votre fils ? Vous souhaitez le remettre dans le droit chemin ?
Vous en avez assez d'aller aux repas de famille sans petite amie à présenter ?
Loueunepetiteamie.com est le concept révolutionnaire qui va vous permettre, sans bouger de chez vous, et en toute légalité, de louer les plus belles créatures qu’il vous sera donné de fréquenter !
Un ciné, une ballade, un resto … une soirée … et bien plus si affinité ! Voilà ce que vous allez trouver sur loueunepetiteamie.com.
Et rassurez-vous, ce n’est pas de la prostitution, c’est de la location. Alors, faites-vous plaisir !
Hahahahaahah ce site est trop fort je défie les filles de créer un blog" loue un petit ami.com" lol en plus si pas satisfait remboursé allez les filles on vous attends.




AHHAHAHAAHAHHAHAHAHAHAHAAHHAHAHAAHHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAAHHA

En fait ce site n'existe pas vraiment c'était juste un buzz pour lancer une campagne de pub.

Si vous avez besoin d'un bon plan marketing adressez vous au directeur de la société hahahahah .


Voir l'article

http://lci.tf1.fr louer-une-petite-amie-sur-le-net-un-piege-qui-buzze-

Curieux, journalistes... ou futurs utilisateurs : ils étaient nombreux à attendre lundi l'ouverture d'un tout nouveau service en ligne : la location d'une petite amie. Tous en auront été pour leurs frais. Car, derrière cette offre pour le moins atypique et sans doute illégale, se cachait un coup médiatique, un formidable buzz orchestré par une société de location. Son président l'a avoué lundi sur internet.

Le buzz avait été déclenché fin décembre sur la page Facebook de son auteur, avant de faire effet boule de neige en quelques heures sur des réseaux sociaux comme Twitter. Loueunepetiteamie.com devait proposer pour une heure (formule bleue) en journée ou en soirée, pour une soirée (formule violette) de 20h à 23h, pour une nuit (formule rose) de 22h à 8h voire pour un week-end (formule rouge) du vendredi 18h au dimanche 18h, la compagnie d'une petite amie pour un ciné, une ballade, un resto ou encore pour donner le change auprès des parents du locataire. Le site faisait miroiter aux internautes la possibilité de rencontrer l'âme sœur, de ne plus être seul ou encore de s'évader avec la "petite amie" ainsi mise à disposition. "Rassurez-vous, ce n'est pas de la prostitution, c'est de la location", rassurait le site.

"5000 propositions d'hommes"

"Moins de 24 heures plus tard, les médias s'emparent du 'scandale'", raconte l'auteur de la supercherie. Et pour cause, ce dernier a poussé le jeu en démentant formellement lui-même l'hypothèse d'un buzz avancée par les journalistes les plus prudents, les précipitant d'autant plus dans le piège. Dans le meilleur des cas, plusieurs titres ont donné la parole à des professeurs de droit ou des spécialistes des droits de l'homme pour commenter le projet et le dénoncer. "Nous avons ainsi reçu 550 candidatures de femmes souhaitant devenir petites amies et 5000 propositions d'hommes souhaitant louer une petite amie", assure le président de la société de location.


S'il a présenté ses excuses aux journalistes et aux internautes piégés, l'auteur du buzz s'est justifié en avançant qu'une start-up sur internet n'a pas les moyens de s'offrir une campagne de communication classique, qu'il lui faut trouver de nouvelles méthodes et que Loueunepetiteamie.com a simplement répondu à cette problématique. Il ajoute qu'avec un budget minimal sa société a réussi à créer un coup sur un concept assez provocateur pour choquer, et présenté sous un angle suffisamment crédible pour être pris au sérieux. Il va même jusqu'à se féliciter d'avoir lancé un débat national sur l'"escorting", tout en assurant que cette pratique ne correspond en rien à ses valeurs. Coût de l'opération, selon lui : 15 euros.

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