Eric Cantona appel à vider son compte en banque le 7 décembre avec le texte





Cantona : "la révolution est très simple à faire"
envoyé par presseocean. - L'actualité du moment en vidéo.


Je crois pas que l 'on puisse être complètement heureux en voyant la misère autour de nous, ou alors on vit dans un cocon.
Hermetique à tout  quoi mais
il y a une possibilité il y a quelque chose à faire 
ça me gène un petit peu ça me gène pas mais aujourd'hui hui c'est important de le défendre
aujourd'hui on est dans la rue c'est quoi
Aujourd'hui hui c'est plus comme ça qui faut faire les choses
Aujourd'hui hui aller manifester dans la rue c'est quoi, il te retourne le truc contre toi.
Aujourd'hui hui c'est plus comme ça qu'il faut faire les choses.
Parler de révolution aller prendre des armes  on va pas aller tuer des gens. 
II y a des choses très simple à faire.la révolution est très simple à faire.
Le système c'est quoi le système tourne autour des banques le système est bâtit sur le pouvoir des banques.
Donc il peut être détruit par les banques c'est à dire au lieu qu'il y est trois millions de gens  qui aille dans la rue.
Ces trois millions de gens y vont à la banque y  retirent leur argents et les banques s"écroulent.
 3 millions ou dix millions de logements  et là il y à une vrai menace  et là il y à une vrai révolution.
La révolution elle se fait par les banques et si il y à 20 millions de gens qui retirent leurs argents le système s'écroule les syndicats faut leur donner des idées dés fois.
Au lieu d'aller dans la rue  faire des kilomètres dans la rue avec ta voiture, tu vas dans la banque de ton village et tu retires ton argents et si il y a 20 millions de gens qui retirent leurs argents le système s'écroule.
Pas d'armes, pas de sang,rien du tout.pas compliqué 
et là on va nous écouter autrement.
Les syndicats faut leur donner des idées dès fois.
L'appel de Cantona monte en puissance, mais la barre semble trop haute
PARIS — L'appel initié par l'ex-star du football Eric Cantona à retirer son argent des banques mardi continue de susciter un élan de sympathie et de faire des émules sur internet, mais l'ampleur de cette mobilisation virtuelle semble insuffisante pour ébranler le système bancaire.
Sur la page dédiée du réseau social Facebook, plus de 34.000 internautes étaient inscrits samedi après-midi pour participer au mouvement "Révolution! Le 7 décembre, on va tous retirer notre argent des banques". Environ 26.000 autres envisageaient "peut-être" de s'y joindre.
"C'est grotesque et irresponsable. Cantona en conseiller financier, ce n'est pas très sérieux (...) A chacun son métier, et les vaches seront bien gardées!", a brocardé le ministre du Budget François Baroin dans une interview à France-Soir.
"60.000 personnes qui retirent leur argent, ça ne fait pas tomber le système", tempère un banquier parlant sous couvert d'anonymat. "Entre la sympathie que tu exprimes sur internet et le fait que tu te rendes en agence, il y a un écart énorme", ajoute-t-il, évoquant une "gigantesque farce".
"Ce seront de petits déposants qui iront faire ça symboliquement et il y en aura assez peu", prédit l'économiste Bernard Maris.
Comme l'indique leur site étendard (www.bankrun2010.com), les fondateurs du mouvement, de même qu'Eric Cantona, cherchent à créer une panique bancaire ("bank run"). Souvent associé à la crise de 1929, ce phénomène ne s'est plus produit depuis qu'en de très rares occasions.
A chaque fois, des milliers d'épargnants forment des queues devant les agences, mûs par la peur de ne jamais pouvoir récupérer leur argent car leur banque ou le système entier est au bord de l'implosion. Ce fut le cas en Russie en 1998, en Argentine en 2001 ou, pendant la crise financière de 2008, avec les banques Northern Rock au Royaume Uni ou IndyMac aux Etats-Unis.
En revanche, si les demandes de retrait sont nombreuses mardi, "ce ne sera pas pour des raisons de sécurité, mais pour punir" un système, souligne M. Maris, ce qui ne s'est jamais vu.
Si l'on se fie aux précédents, il faudrait que les retraits atteignent plusieurs centaines de millions d'euros au moins en quelques heures pour créer des tensions au sein des banques. Du jamais vu en France.
Une déferlante est d'autant plus difficile à imaginer mardi que les banques demandent un délai de plusieurs jours en cas de retrait dépassant quelques milliers d'euros. Autre facteur de dilution: l'appel visant toutes les banques, sa charge éventuelle serait répartie sur les six grands réseaux nationaux.
Par ailleurs, le risque d'énormes files d'attente paraît faible dans un pays qui compte environ 40.000 agences et plus de 53.000 distributeurs de billets.
"Au stade actuel, l'action citoyenne n'a que très peu de chances de déclencher un mouvement de retrait généralisé, susceptible de menacer les banques", considère l'association altermondialiste Attac.
Pour autant, un expert bon connaisseur de la panique bancaire affirme, sous couvert d'anonymat, prendre l'initiative "très au sérieux" en relevant que le mouvement a reçu de l'écho dans d'autres pays: "les Britanniques relaient très fort l'appel du 7 et vu le climat social et la protestation étudiante, ça peut devenir très explosif".
"Admettons que tout le monde retire (son argent). A ce moment qu'est-ce qu'on fait pour les transactions, on va tout payer en cash?", s'interroge M. Maris.
Plusieurs banquiers avertissent eux que la perspective de gros retraits en espèces mardi pourrait pousser le nombre d'agressions à la hausse. "Ca ne va pas faire tomber le système, mais ça va emmerder le monde", conclut l'un d'eux.



Commentaires

Unknown a dit…
Balle du postier

Vous rendez-vous compte ? Qu’il existe quelque part en Europe, toute une population active qui travaille dans une coopérative agricole : Et où chacun reçoit le même salaire, soit 47 euros par jour. Ce salaire quotidien ferait rêver plus d’un parce qu’il est librement consenti par des gens qui ne demandent pas mieux que de vivre en paix en s’inspirant d’un seul principe, simple comme un bonjour : le libre communisme. Ah ! ah ! ah ! Je vous vois revenir : que ce n’est que l’arbre qui cache la forêt, que l’inégalité des traitements est plus stimulante, la compétitivité plus enrichissante. Pas mieux que le capitalisme n’est-ce pas ? Pour nous garantir la prospérité. Et alors ? Ça ne nous empêche pas de tendre l’oreille à ces Andalous qui viennent de je ne sais où et qui se sont donnés les moyens de partager le pain et le levain comme pour nous indiquer le chemin : qu’il y a une autre politique possible … laquelle ? hi hi hi !!!! Pardi… Celle qui nous laisserait le temps de faire autre chose que de la politique… Quand j’étais petite, je rêvais de révolution… poétique… d’un poème pour résoudre tous les problèmes… je vous demande pardon… d’avoir été si petite.
http://www.tueursnet.com/index.php?journal=Balle%20du%20postier
Unknown a dit…
salut c lulu manific se cite mdr


lol